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le meilleur de nous

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Nouveau messagede 10 000 » Lun 21 Sep 2009 16:09

Ceci est un espace pour confronter le meilleur de nous-même, libre à chacun de l’entendre comme il veut (et le meilleur gagne à découvrir le meilleur en tout)

1. un espace où chacun peut formuler les 3 vœux, idées, rêves, discours, projets, choses, etc. qui lui tiennent le plus à cœur, à l’esprit ou à tripes, bref, ses priorités n° 1 (pour soi), 2 (pour la société) et 3 (pour le monde)

ces pensées iront droit au cœur de la fée Démocratique ; celle qui nous suggère de voir ce que nous, les anonymes, pouvons faire par nous-même : par exemple quand certains s’inquiètent, plus ou moins sincèrement, de ce qui pourrait remplacer le capitalisme… Eh ! Nous sommes le capitalisme, reste à enchanter la fée

dans l’idée que le genre humain réunit en assemblée générale pourrait bien prononcer 3 vœux lui aussi, et s’attacher vraiment à leur réalisation


2.1 où chacun peut dire ce qu’il pense qu’il ferait si chacun disposait d’au moins 3000 équivalent eurodollars par mois, sans conditions autres que celles nécessaires à la maîtrise de l’argent par les anonymes dans le monde entier

(sans préjuger de ce que devient la rémunération du travail, puisque nous ne semblons pas capables [démocratie = pouvoir des gens, des anonymes] de reconnaître le mérite autrement)

la maîtrise de l’argent étant vérifiée dès lors que tout le monde dispose mensuellement de la somme convenue – comme confiance et aide effectives de tous les humains entre eux, simple gage de leur liberté de parole et d'action

2.2 ce qu'il faudrait détruire ?



Comme le but n'est pas tant de discuter que de publier nos voeux, merci de poster en réponse à ce message (comme 10 001 l'a fait)
Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:18, édité 1 fois.
Raison: rajout (pour soi), (pour la société) et (pour le monde)
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le meilleur de 10 001

Nouveau messagede 10 000 » Lun 21 Sep 2009 16:25

1.1.1 que nous, les humains, ne soyons plus soumis à l'empire de la raison marchande, à l'esclavage de l'argent / c'est à dire que les anonymes qui se sentent concernés aient la maîtrise de la sphère monétaire et marchande ; que cette maîtrise ait la meilleure publicité – puisque, qu’on le veuille ou non, l’argent intéresse tout le monde, plus ou moins directement – la meilleure publicité donc, à savoir : quelque chose comme 3000 euros / mois, sans conditions, pour tout le monde

1.2.1 que nous nous déterminions d'abord en terme de vie (passion, jeu, amour, noblesse, histoire, connaissance – humanité comme tout), plutôt que de survie (production et reproduction, raison, travail, quotidien, soumission – humanité comme troupeau)

1.3.1 que s’engage une véritable méditation publique et démocratique autour de la plus belle fin que nous pouvons imaginer chacun, pour soi comme pour l’humanité


il faut bien envisager l’hypothèse que l’humanité n’ait pas une existence infinie, qu’elle ne reçoive nulle aide extérieure à elle-même, dieux ou extra-terrestres, pour découvrir le meilleur d'elle-même, son chef d'oeuvre : une fin enviable, enthousiasmante. Disons que c’est l’hypothèse d’un fondamentalisme laïc, du fondement de la laïcité [laïc = peuple, gens, anonymes] et notons qu’évoquer aussi impudiquement l’accomplissement du genre humain vise à lui donner une solution, une forme, qu’il faudra remplir, à qui il faudra donner un contenu, c'est l'objet du désir, son expression collective et individuelle. Nous nous doutons bien que si communiquer s'impose dans ce corps à corps avec l'idéologie économiste – fataliste et infinitiste –, nous nous doutons bien que cela se passe essentiellement hors de portée du langage et de la conscience, sinon en deçà et/ou à la périphérie

Mais concrètement comme on dit, en partant des conditions présentes, cela impliquerait, par exemple, que parmi les 6 chaînes de télévisions principales captées en France, il en ait au moins 3 intégralement réservées au développement de cette perspective. Bref, le minimum de décence serait de partager équitablement la sphère télévisuelle publique entre le point de vue téléologique et le point de vue infinitiste (celui qui domine tout actuellement). Voilà qui serait du sport !



2.1.1 difficile à dire, je n'ai jamais su quoi faire de ma peau (dans le monde régit par le travail et le salariat, il est vrai ; si bien que si je vois des tas de choses à faire aujourd'hui, et que je n'en fais pas le dixième, ce n'est que pour tout remettre en question), mais au moins cela ne m'angoissera plus. De plus, comme cela me fâche profondément de devoir chercher, quémander du travail, avec le même ennui en perspective - déjà, j'imagine que cela sera moins pesant d'accomplir ma part du travail nécessaire à la survie augmentée et relativisée ; autrement sensé et moins contraignant que la part commandée par le mode de reproduction capitaliste ; autrement sensé parce que, par exemple, tout le travail nécessaire à la survie sera devenu le domaine du service civil (disons), nécessaire donc (mais non contraint : c'est à dire fonction de la dictature du bénévolat), réduit au minimum au gré des circonstances et publié par ordre de priorité décroissant en fonction des besoins et des choix locaux et globaux

(fin 2009, le service civil, ou temps de travail socialement souhaitable, est de 40 ans environ – gageons qu'il serait simple qu'il soit de 20)


j'ai entendu dire une fois qu'il suffirait de 5, ou même 3 millions de travailleurs « pour faire tourner la France ». Il me semble me rappeler de l'expression, mais je ne sais plus qui disait cela. N'importe, l'hypothèse d'un service civil de l'ordre de 5 à 10 ans permet d'envisager l'existence sous un jour nouveau, en particulier s'agissant de la préparation professionnelle et de l'attrait de l'activité

2.2.1 cette ineptie qui se fait respecter et s'incruste, genre les médias people, et, au-delà, le monopole de la communication par le divertissement, la gestion et le fait divers tout puissant, les cercles étroits et cooptés des personnels politiques et médiatiques

(si je ne me soucis pas trop de la rémunération du travail une fois work0ut réalisé, je suis certain que la faune sus mentionnée, pour autant qu'elle subsiste (et on voit mal comment), doit s'attendre à une sévère diminution de rémunération. Car, au fond, on a aussi peu besoin de ces potiches mâles et femelles que de caisses dans les supermarchés - voire de supermarchés...)
Dernière édition par 10 000 le Dim 23 Déc 2018 02:01, édité 3 fois.
Raison: rajout – donc pour moi, ici et maintenant...
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2.2.2 search and destroy

Nouveau messagede Béguin Etranger » Mer 23 Juin 2010 02:28

2.2.2 à l'évidence, en premier lieu, il faudrait abolir la propriété intellectuelle et son corollaire le secret industriel



« Le Gouvernement provisoire, avant d'agir, avant de prendre aucune délibération, devait donc préalablement distinguer la question organique de la question exécutive, en autres termes, ce qui était de la compétence du pouvoir et ce qui n'en était pas. Puis, cette distinction faite, son unique devoir, son seul droit, était d'inviter les citoyens à produire eux-mêmes, par le plein exercice de leur liberté, les faits nouveaux sur lesquels lui, gouvernement, serait plus tard appelé à exercer, soit une surveillance, soit, au besoin, une direction.

(…)

La faute, la très grande faute du Gouvernement provisoire, ne fut pas de n'avoir su édifier, c'est de n'avoir pas su démolir.

Ainsi, il fallait abroger les lois oppressives de la liberté individuelle, faire cesser le scandale des arrestations arbitraires, fixer les limites de la prévention…
On ne songea qu'à défendre les prérogatives de la magistrature, et la liberté des citoyens fut plus que jamais livrée à l'arbitraire des parquets. Il plaît à la haute police de convertir un restaurant en souricière; deux cents citoyens réunis pour dîner sont enlevés à leurs femmes et à leurs enfants, frappés, jetés en prison, accusés de complot, puis relâchés, après que le juge d'instruction, qui ne sait lui-même de quoi la police les accuse, s'est longuement convaincu qu’il n'existe contre eux aucune charge.

Il fallait désarmer le pouvoir, licencier la moitié de l'armée, abolir la conscription, organiser une landsturm, éloigner les troupes de la capitale, déclarer que le pouvoir exécutif ne pouvait, en aucun cas, et sous aucun prétexte, dissoudre et désarmer la garde nationale. — Au lieu de cela, on s'occupa de la formation de ces vingt-quatre bataillons de mobiles, dont on nous enseigna plus tard, en juin, l'utilité et le patriotisme.

Il fallait assurer la liberté de réunion, d'abord en abrogeant la loi de 1790 et toutes celles qui pouvaient prêter à l'équivoque; puis, en organisant les clubs autour des représentants du peuple, et les faisant entrer dans la vie parlementaire. L'organisation des sociétés populaires était le pivot de la démocratie, la pierre angulaire de l'ordre républicain. En place d'organisation, le Gouvernement provisoire n'eut à offrir aux clubs que la tolérance et l'espionnage, en attendant que l'indifférence publique et la réaction les fissent éteindre.

II fallait arracher les ongles et les dents au pouvoir, transporter la force publique du gouvernement aux citoyens, non seulement afin que le gouvernement ne pût rien entreprendre contre la liberté, mais encore afin d'arracher aux utopies gouvernementales leur dernière espérance. Le 16 avril, le 15 mai, n'ont-ils pas prouvé la puissance du pays contre les entreprises des minorités ? Or, il n'y aurait eu ni 16 avril, ni 15 mai, si le gouvernement, avec sa force irrésistible n'eût été comme une irrésistible tentation à l'impatience des démagogues.

Tout a été pris à contresens le lendemain de février. Ce qu'il n'appartenait pas au gouvernement d’entreprendre, on l'a voulu faire; et c'est pour cela qu'on a conservé le pouvoir tel qu'on l'avait repris à la monarchie de juillet, qu'on en a même augmenté la force. Ce que l'on devait faire, on ne l'a pas fait; et c'est pour cela que, dès le 17 mars, la Révolution était refoulée, au nom du pouvoir, par ceux-là mêmes qui en paraissaient être les plus énergiques représentants. Au lieu de rendre au peuple sa fécondité initiatrice par la subordination du pouvoir à ses volontés, on cherchait à résoudre, par le pouvoir, des problèmes sur lesquels le temps n'avait pas éclairé les masses ; pour assurer soi- disant la Révolution, on escamotait la liberté ! Rien ne s'offrait aux réformateurs de ce qui s'était vu aux grandes époques révolutionnaires : nulle impulsion d'en bas, nulle indication de l'opinion; pas un principe, pas une découverte qui eût reçu la sanction du peuple. Et ce peuple, ils alarmaient journellement sa raison par des décrets qu'ils condamnaient eux-mêmes. Ne pouvant les justifier par des principes, ils prétendaient les excuser, ces décrets, au nom de la nécessité! Ce n'était plus, comme la veille, l'antagonisme, c'était le charivari de la liberté et du pouvoir.

(...)

Il était réservé à notre époque de tenter, chose qui ne s'était jamais vue, une révolution par le pouvoir, et puis de la faire rejeter par la nation. Le socialisme existait et se propageait depuis dix-huit ans, sous la protection de la Charte, qui reconnaissait à tous les Français le droit de publier et faire imprimer leurs opinions.
Les démagogues de février eurent le secret, en traînant le socialisme au pouvoir, de soulever contre lui l'intolérance et de faire proscrire jusqu'aux idées. Ce sont eux qui, par ce fatal renversement des principes, firent éclater l'antagonisme entre la bourgeoisie et le peuple, antagonisme qui n'avait point paru dans les trois journées de 1848, non plus qu'en celles de 1830 ; qui ne ressortait point de l'idée révolutionnaire, et qui devait aboutir à la plus sanglante catastrophe, comme à la plus ridicule débâcle.

Pendant que le Gouvernement provisoire, dépourvu du génie des Révolutions, se séparait à la fois et de la bourgeoisie et du peuple, perdait les jours et les semaines en tâtonnements stériles, agitations et circulaires, un je ne sais quel socialisme gouvernemental enfiévrait les âmes, affectait la dictature, et, chose étonnante pour qui n'a pas étudié la mécanique de ces contradictions, donnait lui-même, contre sa propre théorie, le signal de la résistance. »



http://books.google.fr/books?id=2S8eAAA ... &q&f=false - p. 61-64
Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:02, édité 4 fois.
Raison: ajout lien ; ajout .2
Béguin Etranger
 

réaliser la richesse

Nouveau messagede serpentaire » Jeu 26 Mai 2011 22:42

1.1.2 Surmonter (et non différer) l'insuffisance de ma vie quotidienne encadrée par la reproduction sociale. Pour cela, explorer le champ universel de l'angoisse, le négatif de la morbidité : la totalité, par la critique de la vie quotidienne et de l'histoire. Pour cela, jouir de la richesse du monde ; pour cela, prendre et concevoir cette dernière collectivement.

2.1 Une revendication sociale est, au mieux, l'aspect ponctuel d'un projet, parce qu'elle émet un discours à partir d'un objet donné. Si l'objet ou même le type d'objet se fige, s'éternise, ce n'est plus l'aspect ponctuel d'un projet plus général mais c'est tout le projet qui devient lui-même partiel, parcellaire. Ce qui le fait retomber dans les bataillons du réformisme et du discours politicien. Certains mouvements récents, comme les émeutes de 2008 en Grèce, se félicitaient d'ailleurs du peu ou de l'absence de revendications : la rue attaque et prend son bien là où il est, elle-même, sans dialoguer avec le pouvoir.

Cependant une revendication audacieuse peut être considérée comme au-delà du réformisme. Le caractère exorbitant des 3000 équivalent eurodollars par mois sans condition, ferait très probablement passer cette idée pour utopique aux yeux des pouvoirs actuels. Cette idée ne pourrait certainement pas être réalisée dans le cadre social actuel. Donc, cette revendication n'en est pas vraiment une parce que, impliquant d'abord une révolution sociale, un changement radical de l'organisation sociale, elle ne s'adresse pas aux pouvoirs en place. Ce n'est pas une revendication au sens habituel puisqu'elle ne cherche nullement à négocier avec l'Etat et s'adresse uniquement aux gens, qui pourraient bien occuper les banques. C'est un point de basculement possible pour le dialogue social.

Si j'ai 3000 euros par mois le travail, qui est nécessaire socialement, n'est plus obligatoire pour moi. J'ai donc tout mon temps pour agir librement, et produire occasionnellement. J'ai tout mon temps pour découvrir le monde des façons les plus variées (déplacements, constructions, dialogues, défis, amour). Si chacun a 3000 euros par mois et que les gens sont délivrés de l'obligation de travailler, l'espace prendra une nouvelle dimension par son habitation publique et ce sera encore bien plus drôle pour chacun de sortir.

Mais passé l'euphorie des premiers temps, qu'est-ce qui empêchera les problèmes économiques de redevenir centraux avec par exemple un phénomène extrême d'inflation, ou bien encore l'extorsion par de nouvelles mafias recommençant d'accumuler ? Si l'exclusion « pratique de l'argent de notre existence » fait effectivement partie du programme, « progressivement », dans quelle mesure ce progrès est-il aliéné par la « période de transition » (potentiellement interminable) d'un système fonctionnant sur la base de 3000 équivalent eurodollars individuels par mois ?

La conservation de l'argent dans ce discours enlise-t-elle votre projet émancipateur dans une problématique de gestion, davantage qu'elle ne l'en libère (à croiser avec la récurrence de l'idée de revenu minimum « universel », « d'existence », etc., où le "débat" porte sur son montant et ses modalités, dans la nouvelle-nouvelle-gauche contemporaine) ? Est-ce la ou le voile du génie poétique des humains ?

2.2.3 Abolir l'argent, quand « tout passe en libre service, au sens propre du terme, et répond au principe d’aménité » et que le jeu du sens, de l'alliance et du but gouverne enfin la division du travail, les travaux, les choses et les identités.
Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:22, édité 2 fois.
Raison: ajout .4.1 et .3
serpentaire
 
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2.2.4 détruire les partis politiques

Nouveau messagede le prince » Mer 20 Juil 2011 02:21

Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:08, édité 1 fois.
Raison: ajout .4
le prince
 

2.2.5 détruire le tourisme

Nouveau messagede le prince » Mer 20 Juil 2011 03:03

Hors d'Europe, il est des traditions millénaires qui nous offrent des richesses spirituelles inépuisables. Mais le contact avec ces richesses doit moins nous engager à essayer de les assimiler telles quelles, sinon pour ceux qui en ont particulièrement la vocation, que nous éveiller à la recherche de la source de spiritualité qui nous est propre. (S. Weil, Le Génie d'Oc)


http://www.blog-libre.net/resserver.php ... 20tard.pdf
Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:10, édité 1 fois.
Raison: ajout .5
le prince
 

2.2.5.2 détruire le tourisme

Nouveau messagede 10 000 » Ven 27 Avr 2012 09:03

Dernière édition par 10 000 le Jeu 21 Fév 2013 04:26, édité 2 fois.
Raison: ajout .5.2 ; ça comme c'est
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2.2.4.1.2 détruire les partis politiques

Nouveau messagede 10 000 » Jeu 21 Fév 2013 03:45

« L'idée de parti n'entrait pas dans la conception politique française de 1789, sinon comme mal à éviter. Mais il y eut le club des Jacobins. C'était d'abord seulement un lieu de libre discussion. Ce ne fut aucune espèce de mécanisme fatal qui le transforma. C'est uniquement la pression de la guerre et de la guillotine qui en fit un parti totalitaire. »
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2.2.6 l'état-civil tant qu'on y est

Nouveau messagede 10 000 » Jeu 28 Fév 2013 02:42

pour le pseudonymat


2.2.6.2 l'anarchiste arthur arnoux besognant à l'état-civil, perdant des heures, pendant la commune de Paris (1871)
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2.2.2.2 détruire la propriété intellectuelle...

Nouveau messagede 10 000 » Jeu 28 Fév 2013 02:43

et le secret industriel

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